Le déclin de la société


Image photographiée par Nesly Alexis


Tout d’abord on va tenter de définir les deux concepts clés du sujet à savoir déclin et société

Définitions des concepts Déclin et Société :

Selon le dictionnaire Larousse :

•     En Astronomie, Déclin c’est le fait pour un astre de finir sa course : 
Ex.  Au déclin du soleil.

•    En morale, Déclin c’est l’état de ce qui diminue de valeur, Fait de se terminer, de décliner, de grandeur, d'éclat, de puissance :

Ex1.  Écrivain sur son déclin.

Ex2. Société sur son déclin.

Société (nom féminin) :

Réunion d'hommes ayant une même origine et des lois communes.
Union de personnes en vue d'une affaire, d'intérêts communs.
Rapports, relations, fréquentation entre les personnes.
Ensemble des gens du monde.
Association littéraire, scientifique, commerciale, etc.
Groupe d'animaux vivant ensemble.

Interrogation du sujet

👉     Comment devrait être la société ?
👉     La société est-elle vraiment orientée vers son déclin ?
👉     Si oui, Quels sont les facteurs ayant conduit la société vers son déclin?
👉    Recommandations… 


Les vraies Valeurs

Le site pasteurweb.org nous décrit en long et en large le déclin de la société.

Les principes sur lesquels notre société déclarait se fonder, ses « valeurs morales », sont terriblement discutés de nos jours, qu'on parle de famille, de religion, de patrie, d'autorité, aussi bien que de pudeur, de charité, d'honnêteté, d'honneur.

"Quel que soit le continent et le modèle de société, nous observons un fait général : le déclin des choses établies, que ce soit en Europe, en Amérique, en Afrique, en Asie, en Australie ! Toutes les nations, tous les peuples sont touchés par une agitation et une révolte de plus en plus violentes.

Aujourd'hui il s'agit d'un phénomène différent : le monde a peur ! Notre société est en effervescence et une forme de panique s'installe dans tous les domaines, politique, social, économique, religieux. Il n'est pas de jour où les médias ne nous livrent leur lot d'informations alarmantes et les gens sont inquiets à juste titre.  Les responsables politiques des nations sont pessimistes, même s'ils doivent faire bonne figure en affichant la confiance et l'espoir d'une amélioration pour le monde. Nous observons que non seulement la situation ne s'améliore pas, mais que d'année en année elle empire.

Si nous regardons les choses en face il y a de quoi être troublé : le chômage, la pauvreté, la misère, la désespérance, la délinquance, la violence, la corruption des mœurs, sont de plus en plus présents dans la société. Enfin l'impureté, l'immoralité, les souillures charnelles, empoisonnent la vie d'un grand nombre de personnes. 

La jeunesse est appelée à se révolter contre les hypocrisies indéniables, les innombrables injustices, et en même temps à considérer avec une pitié méprisante les humbles dévouements de la vie quotidienne. Tout renoncement est ressenti comme une atteinte à la dignité humaine. La conscience fait penser à une aiguille aimantée désorientée par des attractions perturbatrices et qui saute d'une direction à une autre.

En fait, pour des multitudes il n'existe plus ni bien ni mal. Qu'y a-t-il derrière ces négations et ce refus de toute morale ? Rien d'autre que l'orgueil et l'égoïsme, c'est-à-dire le fond du cœur humain depuis que le péché est entré dans le monde. "Par un seul homme, nous dit la Bible, le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort" (Ép. Aux Romains, chap. 5, v. 12). Le MOI seul compte. Développons la personnalité, émancipons l'individu de tout obstacle à jouir de la vie présente ! Et cette exaltation du moi aboutit à un universel et monstrueux choc de tous ces « moi », dans la violence et l'immoralité.

On se rend compte que la séduction du péché a saisi la majorité des gens et nous savons pourquoi :
Ils ont l’intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur. Éphésiens 4.18 "

L’amour

Car aujourd’hui le mariage et le sexe dans notre société sont des sujets tabous.

Face au flot, un roc, l'amour. Sans doute, comme bien d'autres termes, on détourne celui-là de son vrai sens. L'amour est le don de soi, non le désir de posséder ; le renoncement de l'être, et non son affirmation égoïste. Il peut être feint, hélas ! mais l'amour vrai reste la seule et impérissable « valeur », directement opposée à cette volonté de puissance tant prisée aujourd'hui.

L'exemple suprême de l'amour vrai, nous l'avons en Jésus Christ se donnant pour des pécheurs. "Par ceci nous avons connu l'amour, c'est que lui a laissé sa vie pour nous" (1re Ép. de Jean, chap. 3, v. 16). Et nous l'avons en Dieu lui-même qui "a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle" (Év. selon Jean, chap. 3, v. 16).

Le pain ne suffit pas

Il est assez curieux de relever ce propos de Jean Jaurès, le grand tribun socialiste du début du siècle : "Le jour où vous aurez donné à l'ouvrier de quoi vivre largement, vous n'aurez pas encore fait son bonheur. Il y a des biens éternels dont la créature humaine ne saurait se passer."

L'histoire, et particulièrement celle de notre siècle, a justifié cette parole. D'une manière générale les hommes ont vu leurs conditions de vie s'améliorer, mais ils n'ont pas trouvé le bonheur. C'est dans les pays les plus opulents qu'on peut constater le plus grand désordre et l'immoralité la plus poussée. C'est dans les classes bourgeoises que l'on rencontre le plus de maladies nerveuses et de suicides. Et le contraste entre les masses insatisfaites et les nantis s'accroît, engendrant colères et conflits. L'homme du 20° siècle a trouvé les secrets du confort mais non celui du bonheur.

Le bonheur

On le trouve auprès de Dieu, et sans Dieu il n'existe pas. Loin de Dieu vous trouverez peut-être le plaisir, des joies factices et passagères, mais pas le vrai bonheur. Qu'est-il ce bonheur ? C'est vivre avec Dieu, le connaître au jour des épreuves qu'Il envoie pour notre bien et au jour des joies qu'Il peut approuver. C'est le prier et le louer, c'est lire Sa Parole - la Bible - c'est faire Sa volonté. Mais pour cela il faut d'abord et avant tout avoir réglé avec Lui la question de nos péchés qui nous séparent du Dieu saint. Comment ôter ces péchés ? Nous ne le pouvons pas, mais Dieu l'a fait. En vertu du sacrifice de Christ accompli à la croix, Dieu pardonne à tout pécheur qui croit en Lui.
C'est le chemin que Dieu a ouvert aux hommes : il n'y en aura jamais d'autre.
L'avez-vous pris ?

"Bienheureux celui dont la transgression est pardonnée" (Psaume 32, v. 1).

"Bienheureux sont ceux qui écoutent la Parole de Dieu et qui la gardent" (Év. selon Luc, chap. 11, v. 28).

Cela importe d’autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c’est l’heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru.
La nuit est avancée, le jour approche. Dépouillons-nous donc des œuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière. Marchons honnêtement, comme en plein jour, loin des excès et de l’ivrognerie, de la luxure et de l’impudicité, des querelles et des jalousies. Mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ, et n’ayez pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises. Romains 13.11

Toutes les recherches nous montrent que la société ira vers son déclin. Est-il possible de redresser la situation?

Si oui que devons-nous faire? Si non c’est quoi l’avenir nous réserve?

On attend vos suggestions. Merci

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